Après ma modeste prestation à Ignite Strasbourg #1, je me suis permis de refaire un tour de piste pour le 2ème Ignite Strasbourg qui s’est déroulé le 9 février 2010.

Ce “Dessine moi un développeur web (en 2010)” est un petit pied de nez à la façon dont le marché du développement web est actuellement structuré en France…

J’attends avec impatience la vidéo !


Vous trouverez ci-dessous la vidéo de la présentation que j’ai faite à Ignite Strasbourg, le 26 novembre dernier, dont le titre est “OSIRIS : quand les collectivités innovent”.


Et ci-dessous les slides de la présentation :

Cet Ignite a été une expérience étonnante (et difficile) : 20 slides en 5 minutes, soit 1 slide toutes les 15 secondes, c’est du sport ! Vous pourrez d’ailleurs retrouvez toutes les vidéos à cette adresse (merci à Frédéric Mossmann pour la couverture vidéo !).


Novelys 2

01Apr08

Le 31 mars 2008 a été et restera un évènement marquant pour moi.

Evidemment, les esprits chagrins auront noté que j’ai eu 30 ans ce jour là et me l’auront bien fait savoir. Je vous rassure tout de suite, ça n’a pas changé fondamentalement le cours de ma vie. De toute façon, je n’ai pas forcément beaucoup le temps de réfléchir à tout ça.

Mais parlons plutôt de Novelys.

Novelys est donc née officiellement le 28 septembre 2005. En comptant les quelques mois précédents cette date pendant lesquels j’avais déjà commencé à faire tourner (doucement) Novelys, cela fait près de 3 ans que je m’attèle à ce projet. Depuis le départ, les bureaux de Novelys se situait dans mon salon, entre la télé et le frigo.

Or, depuis ce même 31 mars 2008, Novelys a emménagé dans des nouveaux locaux. Plus précisément. nous sous-louons une petite partie du très grand CP Plex (17 rue des magasins à Strasbourg). Merci à eux de nous accueillir en leur sein ! Alors certes, il fallait clairement que je fasse une séparation entre le travail et ma vie privée. Mais c’est surtout que Novelys travaille sur des projets de plus en plus volumineux pour des clients de plus en plus importants. Nous travaillons notamment pour Keldelice (la nouvelle start’up fondée par Cyril Janin, fondateur de KelJob, et Cyrille Stepanyk, ancien manager d’Adenweb chez Adenclassifieds). Et c’est dans ce cadre que Novelys accueille ses 2 premiers salariés depuis le 31 mars : Justine et Nicolas (j’aurai l’occasion de les présenter prochainement, voir la suite ci-dessous).

Ceci va amener plusieurs changements. Tout d’abord au niveau de la communication de Novelys. Le bouche à oreille a bien fonctionné tant que j’étais seul et que je ne cherchais pas à recruter des profils un peu pointus. Ce qui n’est plus le cas actuellement. Un blog d’entreprise dédié chez Novelys prendra son envol prochainement. Le site sera revu de fond en comble. La baseline qui était jusqu’alors “Applications web” deviendra plutôt “Des ingénieurs logiciels au service du développement web”, ce qui définit un peu plus clairement l’orientation actuelle. J’ai aussi quelques idées de projets qui traînent dans les cartons depuis quelques temps que nous allons enfin pouvoir développer.

Bref, ça ressemble à une nouvelle aventure, mais ce n’est que la première qui continue !


Pour ceux qui n’ont pu assister à la MiniConf “Écosystème Ruby : état des lieux et perspectives, les slides”, voici une petite explication sur le nouveau logo Ruby (qui ressemble à s’y méprendre à l’ancien logo).

Tout d’abord, on constate que le langage est résolument tourné vers la pointe de l’avenir du futur de l’avenir. Ce qui est bien, mais pas top. Puisqu’il faudra maintenant gérer correctement la courbe de hype. En effet, on commence à voir apparaitre les premiers déçus de Rails et les premiers gros projets qui se plantent. Tout ceci accompagné d’articles fleuve faisant la part belle à “Rails c’est de la m****” et accusant le framework de tous les maux de la terre.

Ce à quoi je répondrais :

– tout d’abord, Rails n’est pas la solution à tous les développements web (pour les projets que je gère actuellement, c’est, AMHA, le meilleur outil)

– ensuite, dans certains environnements et avec certaines personnes, le projet est de tout façon voué à l’échec…


Voici les slides de la conférence Écosystème Ruby : état des lieux et perspectives que j’ai présenté hier soir.


Mardi 11 mars, dans le cadre du cycle de conférences mensuelles (les désormais fameuses MiniConf) du Linux User Group de Strasbourg, j’aurais le plaisir de vous présenter un petit état des lieux de l’écosystème Ruby.

En effet, l’avènement du framework Ruby on Rails a mis le langage Ruby sous les
feux de la rampe. On a alors (re)découvert ce langage moderne qui offre
d’énormes possibilités, même en-dehors du web. Nous verrons alors
qu’elles sont les dernières applications qui font parler d’elle et ce
qu’on peut espérer voir apparaitre dans la communauté Ruby au cours des
prochains mois.

Un grand merci à Fred pour l’excellente affiche !


In this post, I will talk about the session I started at the latest BarCampAlsace (BarCampAlsace5 more precisely).

As Stéphane is working in the video game business, and I work in the web business, we thought that an hybrid concept between this two fields could be cool. Obviously, we had the idea of a game on the web (because the web in a game is not as fun). We choose the RTS genre as it is kind of dead nowadays and we both love it.

So, the discussion started about the definition of RTS and what this acronym stands for. Hopefully, wikipedia as a great definition of RTS.

As we talked about different technologies to use (Flash, Silverlight, AIR, etc), I felt the need to explain that I’d love to use Google Maps (and its API) and build the game around it. Indeed, in the RTS genre, the map is a key element.

First, I explain how Google Maps works.

It’s like a stencilled (“pochoir” in french) where the map is behind the “hole”.

And, when you drag the map with your mouse, you actually move the map behind the hole.

The map is in fact divided in little pieces called “tiles”. Each pieces is a PNG image.

To avoid waiting too much longer when dragging the map, Google Maps downloads a lot more tiles that just the ones that are under the “hole” (and different strategies could be applied here).

At this point, the discussion heated up about how we could use the data provided by Google Maps (of course, we discussed, copyrights and money too). And there’s really two different ways to see the story of a game based on these technological concepts :

  • use the Google Maps data and build a game like “find secret societies around your neighboorhood” (search if your neighbour is a member of Skulls and Bones).
  • make your own tiles and build the game around whatever theme you want (like MapWow did)

Stephane and me really prefered the second solution as we wanted to build an RTS in the Heroic Fantasy world.

Furthermore, we discussed general gameplay that could be applied to online and perpetual games (like WoW) :

  • planifying to attack your japanese and australian friends when they are asleep
  • planifying giant attacks with 40+ people
  • sharing limited resources among several people (like the DKP method)

Of course, we also discussed the different business models that could applied to this kind of game :

  • advertisements
  • premium accounts where you could access tools to organize a guild
  • fee on micro transactions

All in all, the session was very funny and constructive (of course, that was at BarCampAlsace !). And I really hope I will have some time to code the ideas we talked about.

 


Voici un petit résumé du BarCampAlsace5 qui se déroulait samedi 1er mars pour ceux qui n’ont pas pu venir (ou ceux qui ont oublié de venir).

Commençons par une petite rétrospective des sessions auxquelles j’ai participé :

  • Oliver Gassner nous a parlé de la méthodologie GTD (Getting Things Done) de gestion du temps personnel, que je connaissais déjà (pour avoir monter un plan de formation incluant cette méthodologie). Oliver est un très bon orateur ce qui a assurément ajouté à la qualité de cette session. Si vous avez des problèmes à gérer votre temps, à oublier des rendez-vous ou si vous stressez en permanence par la montagne de choses que vous avez à faire, sachez que vous n’êtes certainement pas le seul dans ce cas, et je vous encourage donc à regarder de plus près cette méthodologie (et à lire dans un premier temps l’article wikipedia qui en parle).
  • Avec Stéphane, j’ai ensuite animé une session appelée “An RTS on the web ?” donc je parlerais dans un prochain billet.
  • Après la pause de midi, je suis allé voir Emmanuel Laurent nous parler des Fab Lab. C’est un concept issu du MIT définissant comment monter de petites unités de production (usinage de pièces en métal, en bois, découpage laser, micro-perçeuse, etc) servant à construire des biens destinés à des micro-marchés qui ne sont pas intéressant pour les grands groupes industriels ou pour construire des prototypes à bas coûts. Le concept de Fab Lab est à rapprocher de celui d’imprimante 3D. Dans quelques dizaines d’années, on pensera sans doute à ces Fab Lab comme à des ancêtres des Personnal Fabricator (chères à “L’âge du diamant” de Neal Stephenson).
  • Philippe Schoen nous a ensuite parlé de son projet de BarCampChimie, qui est donc un BarCamp adapté au monde de la chimie. Ce qui va du contenu même du BarCamp, en passant par le système d’inscription ou encore l’animation de cette rencontre. Je suis d’ailleurs très intéressé par sa proposition de croiser nos domaines respectifs (le web dans mon cas) avec celui de la chimie.
  • Nous avons ensuite, tous ensemble, participer à un World Café (une technique de création collective collaborative) afin de discuter de l’avenir des BarCampAlsace. L’expérience a été tout à fait intéressante et tout à fait enrichissante. La conclusion est qu’on verra sans nulle doute un BarCampAlsace6 et qu’il faudra épauler l’équipe organisatrice en veillant à peaufiner certaines phases comme la communication ou l’animation de session qu’il vaudrait mieux faire en anglais afin d’attirer des BarCamps d’autres pays.
  • Olivier est revenu sur le devant de la scène pour animer une session “blogs en entreprises” avec quelques exemples croustillants.
  • Frank Hamm est venu conclure ce BarCampAlsace5 par une session sur l’Entreprise 2.0 qui est l’avènement de l’entreprise mue par les technos et l’esprit du web2.0

Au final, ce BarCampAlsace a nouveau été un très bon cru. En effet,
bien que nous fûmes finalement qu’une petite 40aine, la qualité était
au rendez-vous. J’attends donc avec impatience la 6ème édition !


FOSDEM 2008

21Feb08

Comme tous les ans, je serai au FOSDEM à Bruxelles. Si vous avez envie de discuter Ruby, Rails, Merb, technos web, n’hésitez pas à laisser un commentaire pour qu’on se rencontre 🙂


Dans le cadre du développement à moyen terme de Novelys, je recherche le stagiaire qui viendra compléter mon équipe dans quelques mois.

Voici le petit brief de description du stage :

Novelys est une société strasbourgeoise spécialisée dans le développement d’applications web innovantes à l’aide du framework Ruby on Rails.

Si vous comprenez le web d’aujourd’hui et avez votre idée du web de demain, que vous avez une expérience dans le développement orienté objet, nous vous attendons !

Avec nous, vous apprendrez à prendre en compte la chaîne de production web et à construire des applications web de qualité.

Rémunération : à convenir
Ville : Strasbourg
Durée : 6 mois à partir du 1er avril
Contact : contact@novelys.com



%d bloggers like this: